vendredi 17 décembre 2010

Victime, bourreau, sauveur.

A l'image de Caliméro, nous prenons régulièrement le rôle de victime. "Victime des autres et bourreau de soi-même" nous dirait Guy Corneau.
Tant que nous penserons que l'autre (une personne physique, la crise, une situation donnée) est responsable de notre mal-être, donc bourreau, tant que nous penserons cela, nous resterons dans la sensation de subir les choses plutôt que de les vivre.
Soit nous continuerons à baisser la tête en attendant que cela passe, soit nous chercherons le sauveur à l'extérieur de nous. Le sauveur pourra être notre conjoint, ami, médecin, Dieu ou la religion et quelquefois même notre enfant, et nous lui donnerons la responsabilité de nous soigner (Soi-nié), de nous guérir. 
Si il n'y parvient pas, il devient lui-même bourreau etc… et c'est sa faute si nous ne nous en sortons pas…etc..

Nous pouvons être, dans une même vie, victime, bourreau ET sauveur, de manière alternative, et en fonction des personnes que nous côtoyons.

 Je vais vous livrer 2 secrets pour être dans la réussite personnelle : 
  1. Nous sommes responsables de ce que nous vivons
  2. Le hasard n'existe pas

Plus questions d'entrer dans la danse des 3 jeux de rôle. 
Reprenons l'entière responsabilité de ce que nous vivons ainsi que notre propre pouvoir. Nous savons quoi faire pour nous sortir de ce mauvais pas et nous en avons les capacités. Tout est en nous. Il suffit de nous arrêter un moment, de nous centrer et d'écouter notre coeur. C'est simple. Et si, nous avons des difficultés à le faire, alors nous nous faisons accompagner par un thérapeute attentif à laisser nos propres ressources émerger.

Instaurons des relations saines avec notre entourage en étant vigilant de rester à notre juste place, dans le respect de qui nous sommes.

Et vous, dans quel rôle vous êtes-vous reconnu ? Qu'avez vous décidé à la suite de cette prise de conscience ? Quelle action allez-vous mettre en place ?

Vérobiz



lundi 6 décembre 2010

La force de la pensée !


Un des secrets de la transformation volontaire pour devenir son MOI idéal est la loi suivante :
Le hasard n'existe pas ! 
En d'autres termes, nous sommes créateurs de notre réalité. L'expérience réalisée par ce physicien biologiste indique clairement qu'avec leur seule pensée, des poussins sont capables d'attirer à eux un objet doué de mouvement. Il s'agit de l'explication rationnelle de la loi d'attraction décrite dans le livre et le DVD "Le secret".
Avec la force de notre pensée, nous pouvons attiré à nous ce que nous désirons : Le succès professionnel, l'amour et l'amitié, le bonheur de partager des bons moments avec des gens extras, la richesse dans nos vies et notre porte monnaie, que dis-je… dans nos multiples comptes en banque…
La première question à se poser est  : Qu'est ce que je veux vraiment ? Qu'est ce qui me passionne, au fond de moi ?
La deuxième étape est de ressentir cet état d'être, quand tout cela est réalisé, et d'ancrer cette sensation, de créer une empreinte, de programmer notre ADN, d'attirer à soi le projet ambitieux qui nous passionne. Tout cela en une seule étape car ces termes sont liés : Quand on ancre la sensation, alors on crée une empreinte, alors on programme son ADN, alors on attire à soi… 

Bonne attraction

Vérobiz
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jeudi 2 décembre 2010

Mon pouvoir personnel de vie.

Dessin de Ray J.A. Mouëza
Retrouver mon pouvoir est en fait retrouver la capacité à devenir maître de ma vie


A notre naissance, nous arrivons avec un petit package de façons de faire ou d'être qui sont un héritage de nos ancêtres et de nos vies antérieures. Nous sommes livrés à nos parents avec une série de programmes par défaut, comme un ordinateur. 
Si pendant la guerre, ma grand mère Carmen a sauvé des enfants, en les transportant dans sa voiture, alors je vais moi-même acheter une grande voiture et passer mon temps à transporter mes enfants et pas seulement les miens, dans un élan inconscient de fidélité familiale. La guerre n'est plus, les enfants ne sont pas en danger, et pourtant je le vis comme ma grand mère le vivait : C'est la seule solution ! Si je ne le fais pas, je suis en stress et je ne sais pas pourquoi. Si je le fais, je le fais trop, et je n'offre pas à mes enfants devenus grands la possibilité de se responsabiliser, tout en me refusant du temps pour moi. C'est cela un programme par défaut.
Quand, dans le calme, j'analyse ce que je fais inconsciemment, je peux modifier en conscience ce qui doit l'être. Le résultat est une réorganisation correcte de ma façon de vivre.
Je peux décider de conduire mes enfants. Je peux aussi décider de ne pas le faire sans que cela soit doublé d'un stress et d'une culpabilité. Je gagne en temps, en énergie. Je me sens droite, alignée, sur mon axe "coeur-corps-esprit". 


Petit à petit, je vais mieux me connaître et m'orienter vers qui  je décide de devenir. Je choisis de rectifier les programmes qui ne me conviennent plus et/ou d'en activer de nouveaux.


J'ai le droit de changer mes programmes, pour mon plus grand bonheur !


Vérobiz
Soyez le changement !

mercredi 24 novembre 2010

Seul un homme peut changer son destin.

 

Regardez Bobby, regardez-le… 
C'est comme si il était en quête de quelque chose et il trouve. Il fait en sorte de se placer exactement au milieu, à l'intérieur, en plein coeur. Il a beaucoup d'effets à sa disposition mais il n'y a qu'un effet qui soit en parfaite harmonie avec le chemin, le swing authentique. Bobby va être choisi par lui. Le swing parfait est là, prêt à s'inviter en chacun de nous. C'est lui qui nous choisit. Regardez-le, IL EST LE CHEMIN !
Le drapeau est un dragon que vous devez tuer. Si vous regardez les choses sereinement, vous verrez l'endroit où les marées, les saisons et la course de la terre se retrouvent. Tout ce qui peut exister ne forme plus qu'UN. Cherchez cet endroit maintenant avec votre âme, avec vos mains ; ne réfléchissez pas, sentez-le. Il n'y a que vous, la balle, le drapeau et ce que vous ETES.

La légende de Bagger Vance




Champion de golf, Junuh (Matt Diamon) a perdu sa joie de vivre et le goût du jeu jusqu'à la venue en ville d'un personnage mystérieux nommé Bagger Vance (Will Smith). Aidé par cet homme, Junuh reprend confiance en lui et retrouve son véritable talent.

Vérobiz
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lundi 22 novembre 2010

La loi du 100e singe.

Il y a quelque chose d'extrêmement motivant dans le fait d'ouvrir notre conscience à la possibilité de retrouver notre propre pouvoir afin de créer notre vie, c'est le fait que cela a un impact sur l'ensemble de l'humanité. En effet, chaque fois qu'une personne change consciemment, ce processus sert à la race au complet selon la théorie du 100e singe. 

En 1952, des chercheurs ont distribué des pommes de terre à une colonie de 100 singes sur une île. Au bout de quelques temps, une femelle lava ses pommes de terre pour en ôter la terre. Elle apprit à ses proches la technique qui se propageât sur l'île et, pas seulement sur l'île, car d'autres singes, sur d'autres continents, se mettaient eux aussi à laver leur pomme de terre. 

"Une fois qu'une connaissance est acquise par un nombre important de sujets, cette connaissance devient accessible à l'ensemble de la race". 

Vous avez sans doute remarqué à quel point c'est facile pour nos enfants d'utiliser un ordinateur ou un téléphone portable ! C'est comme si ils détenaient déjà l'info au niveau cellulaire. Et bien oui, c'est bien ça. 
De la même manière, chaque fois qu'une personne transforme en elle ce qui ne lui convient plus, elle avertit en même temps les autres de la possibilité de se transformer. 

C'est génial ! 

C'est magnétique ! 

C'est l'émission d'une nouvelle fréquence vibratoire qui se transmet dans l'environnement et informe les autres. On parle d'inconscient collectif.



Alors, non seulement nous sommes de mieux en mieux avec nous-même, mais encore, nous devenons co-créateurs d'un monde meilleur. 


Nous avons tout à y gagner !


Vérobiz
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jeudi 18 novembre 2010

Don't Worry, be happy like baby !



Voilà un bien bel exemple de lâcher prise ! Ce sont des Bébés, sans responsabilité, sans peur, sans notion d'échec… Effectivement, chaque évènement est perçu comme une occasion de faire autre chose, autrement et l'enthousiasme domine.
Il se trouve qu'en grandissant, l'Homme a tendance à confondre responsabilité avec contrôle. Comment s'épanouir en étant constamment dans l'attente d'un résultat ? Si le résultat attendu n'arrive pas, alors c'est l'échec et sa sensation inconfortable. 
Et si l'échec n'existait pas, nous pourrions redevenir comme ces jeunes enfants confiants et joyeux, voyant le positif derrière chaque évènement.
Cet optimisme joyeux est programmable par des pensées du même ordre. 
Installez-vous confortablement. 
Prenez 5 min pour cet exercice simple de PNL ou programmation neuro linguistique.
Retrouvez un moment de bonheur intense et focalisez votre attention sur les sensations à l'intérieur de votre corps…. le coeur bat plus vite ou plus doucement, le corps se détend ou pas, la température change peut être ainsi que la respiration… 
Repérez les sons associés à ce moment, les couleurs, les odeurs, les sensations tactiles, le goût…. et augmentez l'intensité de cet instant en tournant un bouton, prévu à cet effet. Voilà, c'est ça… laissez-vous envahir par ce délicieux moment. Très bien …
Et vous voilà dans l'état d'esprit qui vous permet de vivre les choses d'une manière enthousiaste. Amusez-vous de la vie !
L'avenir est inconnu, tout est possible ! Et le meilleur reste à venir !
Don't worry, be happy


Vérobiz
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vendredi 12 novembre 2010

Le Bonheur selon Lorraine

Dans quel monde ai-je envie de vivre ?




Je peux effectivement choisir de vivre une vie sympa Dans un monde fraternel et respectueux.
Quelle action juste et enthousiaste puis-je mettre en place pour participer à la création d'une société dans laquelle je me sente bien ?

Pour ma part, j'apprends à appliquer chaque jour les 4 accords toltèques enseignés par Don Miguel Ruiz : 

1. Avoir le verbe impeccable. (Ne pas dire n'importe quoi sur n'importe qui)

2. Ne pas en faire une affaire personnelle. (Si quelqu'un pense cela de toi, cela le regarde ; c'est sa vision, pas la tienne)

3.  Ne jamais faire de supposition. (je pense qu'il pense que je pense que…A proscrire)

4. Faire toujours de son mieux. (Mon mieux n'est pas celui de quelqu'un d'autre ; de plus, je passe un contrat avec moi-même, je m'engage)


Il y a des jours où j'y arrive et d'autres où je retourne dans mes vieux schémas de pensée. Ce que j'ai appris, c'est que plus je m'entraîne, plus il est facile pour moi de rester confiante et optimiste. 
Je m'aperçois de l'amélioration de mon Monde Intérieur et par conséquence, Extérieur. Plus de calme, plus de douceur, plus de joie aussi. Plus d'entraide !

Et vous, qu'aimeriez-vous faire pour améliorer notre société


vérobiz   
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mardi 9 novembre 2010

Reconnaissance de sa valeur !

Je suis unique, tu es unique, il est unique etc…
Nul autre au monde n'est comme moi ! Voilà les quelques réflexions qui me sont venues après que mon fils me soumette son intitulé de dissertation philosophique : "Autrui doit-il être comme moi ?"
La vie m'a voulue unique. Elle m'a créée avec une spécificité propre, une valeur inestimable de part mon unicité, ma rareté. Il n'y en a pas deux comme moi ! Ni comme toi ! Ni comme lui… 
Un diamant a une valeur inestimable du fait de sa rareté. Je suis comme le diamant, finalement.




Je suis une oeuvre originale, unique, et la vie est faite de cette variété d'oeuvres originales et uniques. La vie ne crée que des nouveautés et des exclusivités dont nous sommes les représentants. 


Je reconnais ma valeur, ici et maintenant, et je vous invite à en faire de même !



Vérobiz
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lundi 8 novembre 2010

Relation entre émotion et maladie.



Tout d’abord, qu’est ce qu’une émotion ?

Et bien, une émotion est une manifestation physique liée à la perception d’un événement dans l’environnement ou dans le mental. Je m’explique :
Il y a tout d’abord l’événement réel ou virtuel que notre cerveau interprète comme agréable ou désagréable, sécurisant ou dangereux, et qui crée une émotion en relation avec cette interprétation.
Par exemple, une femme, la quarantaine,  voit son enfant devenu grand partir faire ses études en métropole et ne s’y est pas préparée. Elle peut se sentir profondément triste car séparée du son de sa voix, ou bien abandonnée dans son rôle maternel, « qui va le nourrir maintenant ?» Cette sensation, elle va la sentir dans son corps, peut-être au niveau de son ventre qui se tord ou de son cœur qui se serre… Et pourtant, cette personne va montrer un visage jovial, faisant croire que tout est parfait dans le meilleur des mondes. Cette jovialité trompeuse est ce qui est socialement correct. C’est le masque choisi par peur d’être ridicule, d’être jugée. Quoi de plus normal que de laisser nos petits s’envoler du nid quand il est temps pour eux de faire leurs propres expériences ! Si cette dame cache sa véritable émotion, alors, celle-ci va chercher un autre moyen d’expression au niveau du corps physique par le biais du symptôme. Dans l’exemple ci-dessus, la maladie pourrait être des acouphènes (le silence est insupportable), ou encore, une grosseur au niveau du sein (je dois fabriquer du lait pour nourrir mon enfant)…Ce que je ressens en vérité, ma biologie l’exprime.
C Jung : «Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir».
En effet, notre cerveau est le grand patron de la programmation de notre survie. Il provoque, en fonction de nos pensées et émotions, des réactions d’adaptation dont le but ultime est notre survie. La maladie a donc un sens, une utilité.
« Mal a dit » ou « l’âme a dit ». La maladie nous parle de Nous. Quand nous sommes à l’écoute de nos symptômes, nous sommes du coup plus proches de notre vérité. Nous reconnaissons nos peurs inconscientes, qui sont des émotions, et nous pouvons choisir de les observer sans jugement, de leur donner le droit à la parole. C’est un vrai pacte d’amour envers nous-même. C’est initier le processus de transformation vers le retour à la santé.

Bien entendu, si vous avez un doute sur votre état de santé, consultez rapidement un médecin. L’action médicamenteuse est bien plus rapide que celle de l’esprit sur le corps. En revanche, choisir d’apprivoiser ses peurs est le chemin de la liberté d’être, en conscience ; le chemin de la santé triomphante.

Qu’en est-il des émotions dites positives ?

Reprenons notre exemple de tout à l’heure. C’est une autre femme dans la même situation que la première. Son grand part faire ses études. Cet événement est vécu cette fois-ci comme une victoire, une fierté d’avoir pu amener son enfant jusqu’à cette étape. Cela pétille dans les yeux de cette femme qui respire amplement en levant le menton et bombant le torse. Elle ressent une émotion d’Amour, de gratitude par rapport à ce qui se passe. Cet instant devient une ressource importante, une grande force pour cette personne.


Vous voyez que plusieurs interprétations sont possibles pour un même événement. Chacun de nous porte en lui des croyances limitantes pour certaines et épanouissantes pour d’autres. Alors, comment naissent les croyances ?
Elles se forment quand nous traitons une interprétation comme une réalité avec en plus une dose de jugement de nos parents, professeurs, amis à qui nous avons donné notre confiance.
D’après vous, quelles sont les croyances de la femme dans le premier cas ?
« Loin des yeux, loin du cœur » et elle a eu peur de perdre l’amour de son enfant.
« Je n’existe qu’à travers mon rôle maternel, comme ma mère avant moi » et là, elle n’existe plus sans enfant à nourrir.
Quel stress !!!
Dans le second cas, la personne fait confiance à son propre jugement. Elle a mené son enfant jusqu’à la maturité. Elle est sans attente, juste prête à passer à une autre phase de sa vie dans l’enthousiasme de la découverte. Sa croyance est « tout est juste, ici et maintenant ! »

Que choisissez-vous ?

Nous pouvons choisir de vivre en conscience chacune de nos émotions, même celles dites négatives,  de les accueillir, de repérer la croyance attachée à notre interprétation.
Ensuite, nous pouvons choisir le courage de nous faire confiance et de réévaluer l’événement avec une nouvelle perception.


Vérobiz
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mardi 2 novembre 2010

Je suis le Chef d'Entreprise de ma Vie

 J'aime bien ce titre : JE SUIS LE CHEF D'ENTREPRISE DE MA VIE. 


En conséquence, je dois gérer tous les ouvriers qui travaillent pour moi, c'est à dire mon mental, mes émotions et mon corps. 
Alors, il y a des jours où j'ai droit aux réunions syndicales dirigées par mes peurs qui prennent le pouvoir, histoire de me protéger d'un supposé danger que mon mental a repéré, et ça cause, ça cause... Pas moyen de s'entendre. Bon, quand le dialogue intérieur se calme enfin, j' y vois plus clair et nous faisons quelquefois des compromis afin de continuer à avancer.
Il y a d'autres jours où je suis un bon patron, car je prends le temps de m'écouter régulièrement, de reconnaître les signaux m'informant qu'une émotion se transforme en peur et je me rassure gentiment … Là, je suis en harmonie avec mes ouvriers et mon entreprise prospère dans le plaisir.
Il y a des fois où je ne suis plus patron du tout et mon mental se lie à mes émotions pour interpréter je ne sais quelle situation comme étant dangereuse et ...mon corps souffre …donnant raison à mes ouvriers ; Tout s'arrête ! 
Quel boulot !
Je préconise l'autorité juste, simple et respectueuse. 
Je choisis d'être un patron qui met en place cette autorité pour lui même et ses ouvriers : Chacun à sa juste place !
Les ouvriers ont le droit de s'exprimer sans pour autant prendre le contrôle de l'entreprise.
Je suis seule au commande de ma vie avec le soutien de mes ouvriers et je les en remercie chaleureusement.


Vérobiz
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