jeudi 23 juin 2011

Comme dit la chanson : "ça m'éner..re..ve…."

Quand une personne m'énerve, c'est qu'une partie d'elle entre en résonance avec moi-même !
Qu'est-ce que cela veut bien dire ? 


Prenons 2 guitares accordées de manière identique. On parle de phénomène de résonance quand on gratte une corde sur une des guitares et que la corde similaire de la seconde guitare vibre sans avoir été touchée…et émet le même son.
Dans la vraie vie, ce qui me fait vibrer chez l'autre est en moi. C'est sympa quand il s'agit des qualités de Gandhi, et beaucoup moins quand on vibre sur l'orgueil par exemple. Alors quand "ça m'énerve", j'observe, j'accueille cette partie de moi, de l'autre que je rejette. Je deviens témoin de cela et je fais la paix avec, quand je suis prête ! 
La plupart du temps nous ignorons notre part d'ombre, seulement, en cherchant la lumière, on trouve l'ombre coexistante. C'est le parcours du chercheur de vérité. Il faut une sacré dose d'humour et d'amour pour suivre cette voie, parce que nous  faisons des découvertes incroyables au détour du chemin. Plus nous avançons vers l'acceptation de qui nous sommes vraiment, moins nous sommes confrontés à ces situations agaçantes. C'est comme si celles-ci laissaient de plus en plus de place à la sérénité.


La vie nécessite, pour son épanouissement, de prendre en compte notre complétude, c'est à dire de reconnaitre, en nous, nos parts d'ombre et de lumière. 


Et merci, à tous et à chacun, de me faire vibrer …

Vérobiz
http://soyezlechangement.blogspot.com

lundi 6 juin 2011

Tous responsables ! suite...

Etre responsables ne veut pas dire coupables ! 


Nous sommes donc bien responsables, et non coupables, de porter en nous des mémoires qui vont attirer à nous des situations données, des personnes dites etc…
  • Je reconnais être porteur de programmes inconscients ! L'autre, ou la situation, devient révélateur d'une problématique qui m'est propre. C'est la métaphore de la paille dans l'oeil de son voisin versus la poutre dans son oeil. Comment puis-je voir en moi, si ce n'est par l'intermédiaire du miroir : L'autre est un miroir qui reflète qui je suis, au fond, avec mes blessures, mes programmes, mes mémoires !
  • Je vois la vérité en face : Si je reconnais un défaut chez l'autre, c'est peut être qu'il ne m'est pas tout à fait étranger… et là, je ne suis toujours pas coupable mais responsable de porter ce programme au niveau cellulaire. J'accepte ce qui est. J'accepte de voir ce défaut en moi, même si je juge, critique l'autre. J'analyse mes ressentis,  je me mets avec ce défaut, tout simplement.
  • J'accueille ce programme, ce défaut, cette situation difficile dans l'amour de ce qui est ! Je laisse entrer cette mémoire car elle fait partie de moi et de mon histoire. j'en prends la responsabilité.
  • J'ai le droit d'être en paix maintenant, alors je pardonne. "Je suis désolée, je te demande pardon, je t'aime et je te remercie"(ho'oponopono). Je déclare que je suis juste fatiguée de traîner en moi cette souffrance qui dure et que je m'aime assez pour vivre autrement.
Si j'ai bien compris, chaque situation problématique est, pour moi, une opportunité de changement. En mettant ma conscience sur cela, j'arrête de m'identifier à mon histoire souffrante et je retrouve mon identité divine, parfaite, telle que je suis, ici et maintenant !

Cela me rappelle une histoire qui m'a beaucoup marquée, celle des instruments de musique et de l'orchestre. Nous sommes, chacun de nous, un instrument de musique bien particulier, tout à fait unique et parfait. Toutes nos sonorités uniques créent l'harmonie parfaite, la musique parfaite. Mais si la flute préfère être guitare ou le piano, saxophone, alors c'est la tension, la dissonance…

Nous sommes tous des êtres parfaits tels que nous sommes. Je prends la décision d'arrêter de vouloir être quelqu'un d'autre … et merci d'être qui vous êtes !

Vérobiz

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